Jonathan Rizzo naît à Fiesole en 1981. D’origine elbane, il grandit et étudie Florence, avant de s’envoler pour Paris, où il écrit son premier livre, L’illusion parisienne. La même année il se lance dans l’écriture de l’anthologie de Affluenti, nuova poesia fiorentina. En 2017, il publie Éternellement Errando Errando, et en 2019, il remporte le prix Le Parole nel Cassetto Fidèle à la maison d’édition Ensemble de Rome, il publie Les chaussures de flâneur, un recueil de quarante poèmes sur Paris.
C’est au travers de vers profonds que Jonathan Rizzo nous raconte la Ville Lumière : des promenades sur les boulevards au confinement, en passant par les terribles attentats de Charlie Hebdo du Bataclan. Mettant en scène son point de vue d’écrivain vagabond, il nous invite à réfléchir sur l’importance des petites choses et nous met face à la réalité de ce qu’est Paris.
LPJRome : Quel genre de poète êtes-vous, ou plutôt, comment vous définiriez-vous ?
JR : Je suis un impressionniste : je peins avec des mots. Je m’inscris dans la tradition des grands écrivains américains du début du XXe siècle.
LPJRome : « Qu’est-ce qui t’a poussé à écrire ce recueil de poèmes ?
JR : Les chaussures du flâneur, est mon quatrième ouvrage. C’est un récit de ma vie au travers de publications dans l’ordre chronologique, où je partage mon amour de la vie et ma lutte contre la mauvaise poésie qui domine le paysage littéraire Italie.
LPJRome : Que cherches-tu dans tes poèmes ?
JR : Moi-même. Mes poèmes sont le lieu secret où je me cache.