
Pour explication, elle a laissé cet unique mot et adosse la responsabilité de cette fermeture à la municipalité. "La récession, c'est quand votre voisin perd son emploi. La dépression, c'est quand vous perdez un membre de la famille. La panique, quand vous perdez tous vos employés, 60. Merci à cette municipalité claire voyante, aux rues voisines et aux résidents, les citoyens n'auront plus leur lieu de rencontre dont ils étaient habitués depuis 54 ans ! Ils auront la tranquillité et plus de temps pour apprendre les chinois vue l'ouverture prochaine, après notre historique activité romaine, un bazar ou un restaurant chinois."
Selon Roberto Pompi, le propriétaire, la faute de la municipalité est de ne pas avoir facilité la circulation de la route devant Pompi, en empêchant les personnes de se garer sauvagement. "Fermer", dit-il, est pour une lui "une obligation." "Je perds 4.000 euros par jour." Mais tout n'est pas complètement perdu pour les fidèles de Pompi et de son tiramisù : vous le trouverez désormais dans le quartier de l'Eur.
S.C (Lepetitjournal.com de Rome) – mercredi 15 octobre 2014
Crédits photos : facebook Pompi

































