Pour poursuivre une politique environnementale encore plus responsable, les parcs royaux ont décidé de transformer les voies de circulation routières au sein des parcs, par des pistes cyclables.
Londres a découvert la joie d’un monde sans voitures. Grâce au confinement, la qualité de l’air de la ville s’est nettement améliorée. Les émissions toxiques ont baissé de 50 %. Bien que le trafic ait repris, Rishi Sunak veut continuer sur la lancée et accélérer la transition écologique de la ville.
Les transports se développent, les lieux touristiques s’adaptent et désormais les parcs bannissent les automobilistes. Les routes transitoires dans les parcs royaux seront supprimées afin que la marche à pied et le vélo soient privilégiés. L’objectif est d’encourager les londoniens à choisir des déplacements plus écologiques. D’autant plus que ces routes servent souvent de “raccourcis” aux automobilistes dans l’urgence. Il s’agit donc également d’éviter les dangers liés à la circulation au sein d’une zone piétonne. Durant six mois, l’interdiction de rouler dans les parcs sera testée afin d’observer les évolutions positives ou négatives.
Les parcs concernés.
Les parcs concernés sont : « Constitution Hill », « Richmond Park », « St James » et « Green Park ». Immenses, ces jardins font uniquement office de passage pour les automobilistes. Marc Bonomi, en charge des transports au sein des parcs royaux précise que le projet « Movement Strategy » est avant tout un moyen de protéger les visiteurs et les cyclistes de la circulation. Selon l’association caritative de Royal Parks, les espaces verts de Londres doivent notamment rester un refuge « urbain ». Cependant cette restriction routière ne s’applique pas aux parkings. Il sera toujours possible de se garer en voiture dans les différents parcs mentionnés.
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