Donald Trump a annoncé augmenter les taxes douanières du Royaume-Uni, de l'Europe ou encore de la Chine ce mercredi 2 avril. Pour le Royaume-Uni, ce sera 10%. Une quête qu’il souhaite bien achever le plus rapidement possible.
Donald Trump continue sa chasse aux sorcières. Le Président des États-Unis n’en finit pas d’augmenter les taxes douanières des pays du monde entier. Sa nouvelle cible ? Le Royaume-Uni. La Grande Bretagne subira une augmentation de 10% tandis que l’Union Européenne fera face à un accroissement de 20%.
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Une réaction immédiate du gouvernement britannique
Ce 2 avril, qu’il a baptisé de “jour de la libération”, le Président américain a annoncé augmenter les tarifs aux pays qu’il considère comme accordant aux Etats-Unis un mauvais accord commercial. L’objectif est de protéger le secteur manufacturier américain et de soutenir l’emploi en rendant les produits fabriqués à l’étranger moins attractifs. Cette décision entrera en vigueur le 5 avril.
De son côté, le Royaume-Uni cherche toujours à conclure un accord avec les États-Unis, afin d’atténuer l’impact des nouveaux droits de douane annoncés par Donald Trump. Pour l’instant, il ne prévoit pas de mesures de rétorsion, a déclaré mercredi le ministre britannique du Commerce, Jonathan Reynolds. « Les États-Unis sont notre allié le plus proche, donc notre approche est de garder notre calme et de travailler à un accord qui, nous l'espérons, réduira les effets de cette annonce », a-t-il expliqué. Finalement, Londres s'en sort plutôt bien, avec des droits de douane fixés à 10 %, le taux le plus bas parmi ceux annoncés.
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