La capitale britannique s’est retrouvée en tête du classement mondial des meilleures villes étudiantes établi par l’institut britannique Quacquarelli Symonds (QS), et ce pour la troisième année consécutive. Londres devance Munich, Séoul et Tokyo, respectivement classées en deuxième, troisième et quatrième positions.
Les différents facteurs pris en compte allaient de l’opinion des étudiants à la désirabilité de la ville, en passant par la mixité dans ses universités ou les opportunités professionnelles. Rentrait également dans l’équation la qualité de ses établissements universitaires. Dix-huit d’entre eux figurent au sein du classement international également réalisé par QS. L’Imperial College London se classe première parmi les universités de la capitale, et septième au classement général.
Londres a dominé la plupart des différentes catégories susmentionnées, cependant il en est une dans laquelle elle se montre particulièrement mauvaise élève. Sans grande surprise, il s’agit de l’accessibilité financière, critère dans lequel la capitale britannique se classe 95ème sur 115, en constituant l’une des 21 villes étudiantes les plus chères au monde. Le coût de la vie et les frais d’inscription élevés ont largement contribué à cette place peut valorisante pour la capitale londonienne.
Malgré cela, elle continue d’attirer de nombreux étudiants étrangers car la ville offre plus que de simples cursus universitaires de qualité. En plus de regorger de culture et d’être grouillante de vie, elle est une des villes les plus cosmopolites du monde, disposant d’un grand nombre d’espaces verts gargantuesques et d’une vie nocturne retrouvée très animée. Des éléments dont les londoniens sont parfaitement au fait et qui justifient sa première place au classement, selon QS.