

Comme il est d’usage, le Nouvel An londonien a été le théâtre d’un spectacle de feux d’artifice d’une grande beauté. Mais ce dernier n’est finalement pas sans conséquences pour notre environnement.
Le manque de vent de ce début d’année n’a en effet pas permis la dispersion optimale de la fumée due aux engins pyrotechniques, si bien que cela a créé le premier incident de pollution atmosphérique de l’année. En cause, les particules de métal utilisées pour créer la couleur des feux d’artifice, qui incluent du baryum, du chlore ou du potassium.
Cet incident fait suite à la pétition que plus de 300 000 personnes ont signé en 2019 pour interdire la vente de feux d’artifices au public.
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