

Des études scientifiques se sont récemment centrées sur l’impact de la pollution à Londres, sur les femmes enceintes. Celle-ci représente en effet un risque lors des premiers mois de grossesse.
Comme beaucoup de grandes villes, Londres est polluée. Or, plusieurs études se sont récemment penchées sur les conséquences d’une exposition à l’air toxique de la capitale, sur les femmes en début de grossesse.
Ainsi, d’après les recherches effectuées par l’Imperial College et le King’s College de Londres, la pollution du sol et les particules microscopiques créées par les pneus des véhicules constituent un risque supplémentaire pour les fœtus, lors des premiers et seconds trimestres de grossesse.
D’autres scientifiques ont aussi découvert que des fausses couches et naissances prématurées, survenues entre 2006 et 2010, étaient en partie dues à une exposition élevée à l’ozone troposphérique et aux particules inhalées. Lors du premier trimestre, les risques de naissance prématurée peuvent donc augmenter de 3% et les fausses couches de 7%. Aucun risque n’a été relevé pour les trois derniers mois de grossesse.
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