La pandémie a eu un fort impact sur le coût de la vie dans les grandes villes, et les entreprises qui expatrient leur employés pourraient ne pas être prêtes à payer le surcoût. Depuis le début de la crise sanitaire, ces entreprises ont dû ajouter aux forfaits des expatriés, du gel hydro-alcoolique ainsi que des produits désinfectants et ont dû payer les frais de rapatriement de bon nombre de leurs employés. Par ailleurs, le prix des logements avec jardin ou à proximité d’un parc a enflé, notamment à Londres et à New York, et les bureaux doivent désormais être plus vastes pour accueillir le même nombre de salariés. Autant de raisons qui pourraient pousser les entreprises à revoir leur politique d’expatriation. Á noter aussi que la qualité de vie pour les expatriés a baissé.
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