Le tennis est à l’honneur en ce mois de juin : alors que Roland Garros en fait voir de toutes les couleurs à nos Français, c’est l’indémodable tournoi de Wimbledon qui va bientôt donner son coup d’envoi. À ce titre, votre traiteur français préféré, Sweet & Salted, revisite une tradition culinaire vieille de cinq siècles.
Les fraises : un réel symbole du tournoi
Difficile de passer à côté des petits cups en plastique dont les spectateurs du tournoi raffolent lorsqu’ils contemplent leurs matches. Pour chaque édition, ce ne sont pas moins de 27 000 kilos de ces fruits rouges et 6 800 litres de crème qui sont consommés. Un symbole qui ne reste pas qu’à l’état consommable puisqu’il est à présent décliné en goodies vendus dans les boutiques de souvenirs lors de l’événement : sur les mugs, les portes-clés, les nappes, les chaussettes…
Un peu d’histoire
Ce mélange gourmand remonte pourtant avant même l’invention du tennis sur gazon, qui voit le jour en 1874. En réalité, c’est un dénommé Andrew Boorde qui importe cette spécialité culinaire à Londres au XVIème siècle lorsqu’il tombe amoureux de l’association des deux mets. Très vite, les hautes classes bourgeoises de la capitale partagent son adoration et adoptent la nouvelle recette. En 1953, le tournoi de tennis de Wimbledon commence à vendre ses fraises à la chantilly de manière officielle, une association proposée dans des dizaines de stands sur place et faisant désormais partie intégrante de l’authenticité de l'événement sportif.
Quand Sweet & Salted y apporte son grain de sel
Votre traiteur français à Londres s’appuie donc sur une tradition ancrée tout en y apportant une petite touche de renouveau. Le chef crée sa revisite en reprenant les couleurs symboliques : le vert pour le gazon de Wimbledon, le jaune pour la balle de tennis formant également les contours du dessert ; et enfin, les fraises à la crème à l’intérieur, à manger seul ou accompagné devant les set & match à la maison.
Conquis ?