On savait la situation tendue entre Petrachi et le reste de la Roma, mais ces derniers jours, certains dits et non-dits du directeur sportif et du président ont fait déborder le vase déjà bien plein.
La conversation téléphonique
Cette conversation téléphonique ‘tendue’ aurait eu lieu entre le président des Giallorossi James Pallotta et le directeur sportif Gianluca Petrachi. Le déclencheur serait la dernière interview du président où, remerciant toute la direction pour son travail, il n’aurait pas nommé Petrachi. D’un autre côté, l’interview de Petrachi aurait été très moyennement appréciée par Pallotta.
Un mal bien plus profond ?
Cela ne serait que la partie visible de l’iceberg tant les deux hommes ont des points de vue différents sur les stratégies à mettre en oeuvre. De son côté, Petrachi voit ses plans bouleversés suite à la non vente du club à Friedkin et se plaint d’un manque de liberté sur le mercato : l’affaire avec Pedro est bouclée du côté de Petrachi mais du côté de Pallotta le feu vert ne peut être donné sans au préalable qu’il y ait eu la vente d’un joueur offensif.
Point de vue du président
Du côté du président, la ligne de conduite est claire : d’abord vendre des jeunes joueurs permettant une plus-value importante (Under, Kluivert, Cristante, Schick…) et se libérer des trentenaires aux salaires élevés et qui n’entrent plus dans le projet (Juan Jesus, Pastore, Florenzi…). Cela permettra de conserver Zaniolo et Pellegrini et de renégocier les prêts de Smalling et Mkhitaryan. En cas de "divorce", certains médias écrivent que Morgan de Sanctis serait prêt à prendre la fonction de DS.
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