La première ministre Theresa May a donné son feu vert à une participation de l’équipementier chinois Huawei au réseau 5G. Une décision loin de faire l’unanimité. En effet, l’entreprise est soupçonnée d’espionnage et bannie des États-Unis. Le groupe n’aura cependant accès qu’à une partie limitée du chantier et ne sera pas impliqué dans le cœur du réseau.
Une décision prise lors Conseil de sécurité nationale (National Security Council, NSC), ce mardi. L’information diffusée par The Telegraph n’a toutefois pas été confirmée par Downing Street qui refuse de donner une réponse claire. De son côté l’entreprise chinoise se félicite : « Alors que nous attendons l'annonce formelle du gouvernement, nous sommes heureux que le Royaume-Uni continue d'adopter une approche fondée sur les faits et nous continuerons de travailler en coopération avec le gouvernement et le secteur ».
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