Le site euronews.travel a recensé les capitales européennes les plus visitées ainsi que les plus évitées en Europe. Quelles sont les métropoles qui attirent le plus de touristes en cette période estivale? Lepetitjournal.com a déchiffré la sélection pour vous.
Alors que l’été approche, les capitales européennes connaissent leur boom touristique estival annuel. Pour cause: les touristes venus des 4 coins du monde viennent découvrir Madrid, Lisbonne, Berlin, Rome ou Paris. Une chose est certaine: quelques capitales attirent plus que d’autres. Mais spoiler: aucune de ces capitales ne fait partie du top 3.
Quelles capitales européennes attirent le plus de touristes?
Grâce aux données du moteur de recherche Holidu, qui a comparé la population des capitales européennes au nombre de touristes que ces dernières ont accueilli en 2019, Euronews.travel a compilé la liste des villes qui hébergent le plus de touristes en fonction de leur nombre d’habitants.
Et la grande gagnante de cette liste est… Amsterdam ! La capitale néerlandaise attire toujours autant de touristes chaque année. Avec 12 touristes par habitant, la métropole hollandaise a de quoi séduire: canaux, centre-ville typique et traditions culinaires sans oublier le fameux quartier rouge et les coffee shops.
Vient ensuite Dublin ! Vous n’aviez peut-être pas pensé à elle pour le podium de ce classement, mais les touristes eux, ne l’ont pas oubliée! Avec 11 touristes par habitant, la ville des Leprechaun attire ces derniers en masse, et pas seulement pour ses petits personnages verts. Également capitale de la Guinness, les tours de brasseries font sensation.
En troisième position, nous retrouvons Tallinn: la capitale estonienne compte 10 touristes par habitant. Ses paysages magnifiques, ses îles et ses châteaux y sont sûrement pour quelque chose!
Il fallait s’y attendre, notre capitale française se trouve dans le haut de la liste. Paris décroche la 4e place, en dénombrant 9 touristes par habitant. Nul besoin d’énumérer les nombreux attraits de la ville de l’amour qui lui confèrent sa si belle réputation auprès des touristes. Vous souhaitez découvrir la ville autrement? Faites un tour sur notre sélection d’expositions et de sorties à faire à Paris.
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Athènes, la capitale grecque et berceau de la démocratie attire 8 touristes par habitant. Ses lieux chargés d’histoire, les ruines de la société de Platon, le Pirée, son charme incontournable et la nourriture grecque à ne pas manquer, auront eu raison du calme de la ville. Les touristes sont nombreux et ne comptent pas s’arrêter. Afin de vous donner un avant-goût de vos vacances sur place, regardez “Salade grecque”, la suite de l’Auberge espagnole, qui se déroule à Athènes.
Les capitales européennes qui attirent le moins de touristes par habitant
Bien que cette section énumère les capitales les moins visitées, cela ne signifie pas que votre séjour dans ces métropoles sera moins qualitatif. Au contraire, si vous recherchez une destination moins fréquentée, jetez un coup d'œil à cette liste. Rappelons que la sélection prend en compte le nombre de touristes par habitant et non l’effectif réel des touristes.
Les 4 dernières places sont occupées par des villes qui n’accueillent que 2 touristes par habitant. Berlin, Madrid, Bruxelles et Budapest. Alors que les capitales allemande, espagnole, belge et hongroise ont toutes de quoi attirer les touristes et surtout les jeunes, leurs ratios touristes/habitants ne sont pas énormes.
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En élargissant notre champ d’analyse, nous nous rendons compte que ce ne sont pas les capitales qui attirent le plus. Le classement d’Euronews.travel a pris en compte d’autres grandes villes européennes. Surprise: les sept premières sont occupées par des villes et non des capitales. Dubrovnik (36 touristes par habitant), Venise, Bruges et Rhodes (toutes 21 touristes/hab), Reykjavik (16 touristes/hab) et Florence et Héraklion (toutes deux 13 touristes/hab) sont victimes de leur gloire. Ces villes, qui n’ont souvent pas beaucoup d’habitants, attirent tellement de touristes que ces derniers multiplient de beaucoup la démographie initiale de ces métropoles.