Le Laboratoire National de Recherche en Science, Technologie et Innovation (STINL) du Cambodge, dont le mandat sera de mener des recherches, des études et des projets de développement en science, technologie et innovation, va bientôt voir le jour.


L'annonce a été faite par un sous-décret signé par le Premier ministre Hun Manet et publié le 20 juin.
Le mandat du laboratoire sera de tester et évaluer les produits du point de vue de la physique, de la chimie, de la microbiologie, de la mécanique, de l'électronique et/ou de l'électricité afin de déterminer leur qualité et de vérifier s'ils répondent aux critères demandés ou nécessaires, indique le sous-décret.
Il mènera également des recherches et des études liées au développement de la science, de la technologie et de l'innovation, et coopérera avec d'autres laboratoires d'institutions nationales, internationales et privées ainsi qu'avec des partenaires de développement. Et ce, pour répondre aux besoins urgents dans les secteurs de la science, de la technologie et de l'innovation du pays.
Un laboratoire précurseur et collaboratif
« Le STINL sera responsable de l'organisation de l'infrastructure technique du laboratoire pour développer et répondre à la demande dans les trois secteurs pour d'autres laboratoires avec évaluation et reconnaissance basées sur les normes nationales et internationales », indique le sous-décret.
Le laboratoire contribuera au développement d'autres laboratoires d'institutions nationales impliquées dans le développement de la science, de la technologie et de l'innovation, et promouvra la sécurité et la santé publiques, ajoute-t-il.
Le STINL participera également à des études collaboratives et promouvra, soutiendra et donnera des recommandations clés pour le développement de produits dans les secteurs de la science, de la technologie et de l'innovation.
Son mandat comprendra également le soutien aux institutions éducatives privées pour les tests ou évaluations dans les domaines de la science, de la technologie et de l'innovation.
Avec l'aimable autorisation de Cambodianess, qui a permis de traduire cet article et ainsi de le rendre accessible au lectorat francophone.
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