Vivant aux États-Unis depuis plusieurs années et alors qu'elle a programmé un voyage en France, Noémie en profite pour faire un examen de routine. Mais lorsque les résultats tombent, c'est la catastrophe.
L’histoire de Noémie est une fiction inspirée de faits réels. Elle met en perspective l'importance de souscrire à une bonne assurance santé en tant qu'expatrié, même lorsque l'on est Français. Pour garder la confidentialité des informations, les prénoms ont été changés.
Noémie habite la Californie depuis quinze ans. C’est une femme énergique et « positive par nature ». Avec Richard, son mari et leurs trois enfants, cette autodidacte, comme elle aime à le rappeler, a racheté un ranch qu’elle a transformé en vignoble pour y produire le vin dont elle rêvait.
En 2021, avec la réouverture des frontières et alors qu’elle n’est pas rentrée en France depuis plusieurs années, Noémie envisage un séjour dans son pays natal de deux semaines, à Noël, après les vendanges tardives. Au dernier moment, Richard ne peut pas l’accompagner, mais l’encourage à partir. C’est donc décidé, Noémie passera Noël en France avec ses trois garçons.
La famille et les amis de Noémie sont répartis entre Paris et Caen. Après quelques jours passés dans la capitale « où j’ai dévalisé plusieurs Monoprix », se souvient-elle, direction le Calvados pour y retrouver sa meilleure amie. Le séjour se passe à merveille. Il y a même de la neige!
Mais en discutant avec son amie, Noémie lui fait une confidence: elle s’occupe de sa santé « de loin ». Avec la pandémie, elle a repoussé plusieurs examens. Son amie la dispute et la force presque à faire un check-up avec une gynécologue qu’elle connaît.
« Je n’ai aucun symptôme ! » se justifie Noémie.
« Tu es médecin ? Non ! Ça ne coûte rien de faire un contrôle de routine. »
Noémie passe alors une radio qui inquiète la gynécologue. Elle l’envoie le jour même passer une biopsie à l’hôpital. L’urgence alerte Noémie qui s’alarme « On ne passe pas une biopsie sans raison ». Mais il faut attendre les résultats que l’hôpital doit communiquer au médecin.
Quatre jours plus tard, le verdict tombe: cancer du sein. « J’ai tout de suite voulu rentrer chez moi, retrouver mon mari et faire face ensemble. » Son amie la dissuade.
« Quel que soit le niveau de soin que tu recevras là-bas, tu auras besoin d’échanger avec des médecins, des infirmiers, tout le personnel accompagnant, en français. »
« Mais je parle très bien anglais! »
« Tu sais bien que ce n’est pas pareil. Il s’agit de l’intime. Du corps. De tes peurs et tes angoisses les plus profondes. »
« Je ne peux pas me faire soigner ici : je n’ai plus de Carte vitale depuis 15 ans ! »
Noémie appelle son mari qui la rassure et approuve son choix de rester en France. Il prend le premier avion disponible et l’accompagne à l’hôpital.
Le médecin suggère d’opérer le plus rapidement possible.
« Si vite ? »
Noémie a besoin d’un autre avis. En pleine nuit, son mari contacte EuropUSA dont le médecin confirmera le protocole et les soins demandés par l’établissement qu’il qualifie « d’excellents ».
Mise en confiance par cet avis concordant, elle signe le protocole. Pour la partie financière qui se chiffre à plus de 27.000€, EuropUSA traite directement avec l’hôpital, sans avance de frais pour Noémie et son mari.
L’opération s’est bien déroulée, mais il lui faut plusieurs semaines de traitement. Là encore, l’assurance expatrié de EuropUSA souscrite par Noémie prend en charge ses soins son rapatriement. Noémie finit par se rétablir, même s’il lui faut encore quelques mois avant de reprendre une activité soutenue.
Elle n’est pas retournée en France depuis son hospitalisation, et cette année, c’est son amie qui vient la voir. Et c’est au tour de Noémie de lui recommander :
« N’oublie pas de prendre une assurance santé chez EuropUSA avant de venir ! »
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