Londres vient d’être classé, selon une étude de The Thomson Reuters Foundation, comme la meilleure mégalopole du monde où il fait bon vivre pour les femmes. La capitale anglaise, avec une population estimée à 10,4 millions de personnes, arrive en tête dans deux des quatres catégories de ce sondage. Londres est donc premier (devant Paris et Tokyo) pour tout ce qui est accès aux soins médicaux (incluant la contraception et la mortalité maternelle) et dans le domaine des opportunités économiques (éducation, accès à la propriété, services financiers…).
En revanche, la capitale est bien moins notée en ce qui concerne les violences faites aux femmes (notamment les risques incluant le viol, les attaques sexuelles et le harcèlement). Elle n’obtient que la 6e place. Autre catégorie, où Londres doit faire mieux (elle se trouve à la 5e place), les pratiques culturelles (mutilations génitales, mariages forcés, infanticide…). “Les progrès que nous faisons n’avancent pas assez vite”, a déclaré Sadiq Khan, maire de la ville, “nous devons redoubler d’efforts pour supprimer les barrières afin que les femmes puissent libérer leur potentiel total”.
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