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Quand étudier à Londres dès 16 ans sans ses parents devient possible

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Écrit par Lycée International Winston Churchill
Publié le 11 mars 2020, mis à jour le 11 mars 2020

Il n’y a pas d’internat au Lycée International de Londres Winston Churchill, mais qu’à cela ne tienne. Les élèves de 16 ans et plus peuvent y suivre leur scolarité tout en étant hébergés dans une famille d’accueil. Un concept qui séduit de plus en plus de familles et qui permet aux enfants de faire des progrès fulgurants en anglais.

 

Le Lycée International de Londres Winston Churchill est décidément très en avance sur son temps. Cité comme une référence dans le réseau AEFE et reconnu par les autorités anglaises pour la qualité de son enseignement, il se distingue aussi par son dispositif « Happy Campers » permettant à des élèves de plus de 16 ans de suivre leur scolarité à Londres, tout en étant hébergés dans des familles d’accueil.

Ce dispositif a été conçu pour répondre aux familles qui ne veulent pas déménager à Londres mais dont un enfant tient absolument à suivre une scolarité bilingue. C’est le cas d’Alyssa qui voulait absolument changer d’environnement et quitter Paris. Ou à des familles initialement basées à Londres, mais dont les parents acceptent un travail dans une autre ville, avec des enfants qui souhaitent finir leur scolarité au Lycée Winston Churchill où ils sont très bien. Sur ce point, confie Colette Shulver, responsable du pôle well-being « il n’est pas facile pour un adolescent de partir, de changer de ville et de lycée, alors qu’il est en première ou en terminale. Il a tous ses amis et ses repères. Dans un cas comme dans l’autre, cela demande une bonne dose de maturité et c’est aussi vraiment une question de caractère, poursuit-elle. Tous sont finalement des élèves ambitieux, très motivés, avec le désir commun de vite progresser en anglais ».

 

Un concept novateur rendu possible grâce à une organisation sans faille

• Un encadrement spécifique avec des points de suivi réguliers

Les enfants ne sont pas livrés à eux-mêmes, bien au contraire. Ils sont suivis par les responsables du département well-being du lycée. Chaque mois un repas convivial est organisé avec la dizaine d’élèves qui séjournent en famille d’accueil. « L’objectif est de vérifier que tout se passe bien, de créer du lien avec et entre ces élèves et d’échanger librement sur les activités qu’ils ont fait le week-end, de leur demander aussi comment ils préparent leurs prochaines vacances et s’ils vont recevoir ou visiter leur famille » explique Colette Shulver. C’est bien sûr aussi l’occasion de voir s’ils vont bien. En dehors de cela, nous recevons aussi les élèves individuellement s’ils le désirent, car ils n’ont pas envie d’évoquer certaines questions confidentielles en groupe ». Ce que confirme une élève : « Nous savons que pour tout problème nous trouvons une oreille attentive. Colette et Anne-Claire sont toujours disponibles pour nous et c’est vraiment rassurant ».

• Une sélection des familles d’accueil qui ne laisse rien au hasard

Pour une immersion totale dans la langue et la culture anglaises, les lycéens sont hébergés dans des familles d’accueil anglaises. « Pour la sélection, nous travaillons avec des agences recommandées par le British Council. Donc toutes les familles ont été au préalable auditées et validées par des organismes professionnels, c’est une vraie sécurité. Nous mettons en relation des familles avec ces organismes et ce sont elles qui choisissent parmi un certain nombre de profils ». Ce qu’explique d’ailleurs très bien Marine dans son témoignage. Il est possible d’opter pour un hébergement proche du lycée ou pour l’élève de se rapprocher d’un lieu où il va exercer une activité. Ce fut le cas par exemple pour une jeune fille qui a voulu trouver un hébergement proche d’Hampstead, quartier où elle joue régulièrement au rugby. C’est au choix. Mais tous ont ce point commun : ils sont en immersion dans une famille anglaise, ce qui leur permet de s’imprégner de la culture du pays. Irina le confirme même si pour elle une famille qui vit à Londres avec des adolescents n’est pas très différente d'une famille qui vit à Paris. La certitude, c’est que certains enfants participent à la vie de famille, en allant faire les courses le week-end avec les parents ou en aidant à faire la cuisine par exemple. Il y a une vraie notion de partage, même si la famille d’accueil n’a pas pour mission de remplacer la famille de l’enfant. Elle veille à son confort de travail, fournit la chambre et les repas.

 

Un dispositif parfaitement en phase avec les valeurs du Lycée

Comme le rappelle Mireille Rabaté, proviseur de l’établissement « Le Lycée International de Londres a pour ambition de faire de ses élèves des citoyens du monde responsables et créatifs, capables de forger et d’exprimer leurs opinions tout en respectant autrui ». L’excellence, la solidarité, l’ouverture sont des notions qui guident tous les enseignants et collaborateurs. « Ici, nous innovons tous les jours et nous créons des recettes que nous jugeons bonnes pour tous nos élèves. Le dispositif Happy Campers en est un parmi d’autres. Les élèves que nous accueillons sont très équilibrés et ce sont des enfants qui s’adaptent et qui réussissent car à la base c’est un choix fort d’élèves volontaires ».

 

Trois lycéennes de 17 ans, bien dans leurs baskets, témoignent au travers de trois histoires différentes 

Marine, d’Aix-les-Bains, recommande ce système car elle a fait d’immenses progrès en Anglais

Irina, dont les parents travaillent à Bristol, voulait poursuivre sa scolarité dans un lycée français

Alyssa a quitté Paris et a trouvé un mode d’hébergement qui lui correspond parfaitement

 

>> Plus de renseignements sur le site internet du Lycée international de Londres Winston Churchill

Lycée international Winston Churchill bilingue Londres
Publié le 11 mars 2020, mis à jour le 11 mars 2020

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