Quand le Brexit réanime de vieilles tensions ! Le 5 mars dernier, des colis suspects avaient été envoyés à l’université de Glasgow, aux aéroports d'Heathrow, de London City et à la gare de Waterloo, avant d’être détruits par la police britannique. Dans la journée du 12 mars, l’envoi des colis a été revendiqué par un groupe dissident se nommant l’IRA, en référence à l’Armée républicaine irlandaise. « La revendication a été faite au nom de l'IRA », a en effet déclaré la police britannique. Ce groupe rassemblerait des militants opposés à l'accord de paix du « Vendredi saint ». Un accord conclu en 1998 qui a mis un terme à près de 30 années de conflits communautaires en Irlande du Nord.
The MPS & @PoliceScotland are aware of the claim of responsibility, allegedly made on behalf of the ‘IRA’, for the devices that were received at three buildings in #London and at the University of #Glasgow on 5 and 6 March.
— Metropolitan Police (@metpoliceuk) 12 mars 2019
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