

Tout un pan de l’économie en détresse
Le secteur de l’événementiel est sans doute celui qui a le plus grandement souffert de la crise du Covid-19 puisque de nombreux évènements, que ce soit des concerts, des festivals ou encore des fêtes populaires telles que la Fête de la bière (Oktoberfest) de Munich, qui attiraient en temps normal plus de 500 millions de visiteurs, ont été annulés pour des raisons d’hygiène et de sécurité.
Ceci ne frappe pas seulement les organisateurs de plein fouet, mais également d’autres professions comme celles liées aux services de restauration, à la technique ou encore les constructeurs de scènes, nombreux à avoir fait faillite. Le secteur de l’évènementiel est donc le premier à être touché par la crise et va probablement être le dernier à en sortir.
Appel à un plan de sauvetage
Avec l’action symbolique « Night of Light », le secteur de l’événementiel qui souffre grandement de la crise, souhaite alerter la population mais surtout les politiques.
D’après, Tom Koperek, à l’initiative du projet, « Le secteur de l’évènementiel ne survivra pas les 100 prochains jours, puisque les restrictions imposées par le gouvernement rendent l’organisation des évènements impossible. ».
De plus, de nombreuses personnes de la branche sont d’avis que le soutien de l’État a été médiocre, car la seule chose que ce dernier proposait pour aider les entreprises en détresse financière, c’était des programmes de crédits. Or, comme le chiffre d’affaires perdu des entreprises concernées est difficilement rattrapable, les aides n’auront qu’un impact modéré.
Pour plus d’informations, c’est ici.
La carte des lieux participant à l’action est par là.