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3 idées reçues sur l'investissement immobilier

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Écrit par My expat
Publié le 28 mars 2018, mis à jour le 28 mars 2018

Investir dans l'immobilier en France depuis l’étranger : un parcours du combattant ? Pas vraiment. Avec un bon dossier et de bonnes pratiques, vous avez toutes les chances de mener à bien votre projet… et de profiter des conditions actuelles, idéales pour se lancer !

 

Idée reçue n°1 : « Aucune banque ne me suivra »

Vous devez d’abord savoir que si vous comptez investir en France, les banques ne prêtent pas aux mêmes conditions. Un contrat de travail local, la différence du coût de la vie, les variations de devises... sont autant de sources de risques pour elle. La rentabilité attendue est aussi jugée plus faible. La banque estime qu’elle a moins de chances de voir le non-résident placer son épargne et ses comptes courants dans son établissement. En moyenne, les taux accordés aux non-résidents sont entre 0,20% et 0,50% supérieurs aux taux proposés aux résidents français.

Pourtant, comme en France, la banque s’intéresse en premier lieu à vos revenus pour déterminer votre capacité d’emprunt. Elle calcule votre ratio charge/rémunération nette, lequel ne doit pas dépasser 30 à 35 %. L’apport est lui aussi identique, généralement compris entre 10 et 20 % de l’investissement total. Si vous possédez un contrat de travail détaché ou êtes employé par une grande entreprise locale connue, vous ne rencontrez pas plus de difficultés qu’un résident en France pour obtenir votre crédit. Votre pays de résidence peut donc influencer la banque, mais c’est avant tout votre stabilité professionnelle qui compte.

 

Idée reçue n°2 : « C’est un cauchemar fiscal »

Pour les résidents comme les non-résidents, acheter un appartement en France pour le louer meublé rend éligible au régime LMNP (Loueur en meublé non professionnel). Vous pouvez ainsi déduire vos frais liés à la location du bien. Cela couvre à la fois l’entretien, les réparations, les frais de gestion, les intérêts d’emprunt, les impôts (taxe foncière) et l’amortissement de votre bien sur 20 ans environ.

Et si vos recettes sont inférieures à 70 000 euros par an, vous pouvez choisir le régime micro-BIC, soit un abattement forfaitaire de 50 % des recettes imposables, au titre des frais liés au logement mis en location. C'est nettement plus que l'avantage fiscal des locations nues, qui n'ont droit qu'au régime micro foncier, un abattement de 30 % sur les revenus locatifs inférieurs à 15 000 euros.

Il ne faut pas oublier également que l’immobilier est le seul investissement dans lequel on peut se lancer sans disposer des fonds nécessaires, grâce à l’emprunt. Et actuellement, avec une rentabilité immobilière comprise entre 3 et 6 % dans des villes comme Paris, Lyon ou Bordeaux, et des taux d’intérêts au plus bas, votre capacité d’investissement grimpe en flèche. Cet effet de levier, bien connu dans l’immobilier, vous permettra de dégager des profits sans affecter ni votre pouvoir d’achat ni votre capacité d’épargne.

 

Idée reçue n°3 : « Impossible d’acheter à distance »

Entre le décalage horaire, le manque de temps, mais aussi le coût que cela représente de rentrer à France pour chaque étape du projet, nombreux ceux sont qui abandonnent leur projet.

C’est pour répondre à ce besoin que My expat, spécialiste de l’investissement immobilier en France pour les expatriés, a développé une plateforme unique pour permettre à un Français non-résident de réaliser une transaction immobilière en France et ce, sans jamais avoir à quitter son pays de résidence.

De l’étude de votre dossier à la signature finale de l’acte authentique devant le notaire, en passant par la visite des appartements, vous pouvez suivre chaque étape de votre projet sur votre espace personnel grâce à cette plateforme entièrement dématérialisée.


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