Selon les dernières données de l’agence gouvernementale Public Health of England (PHE), il a été observé que le vaccin d’Oxford fournissait encore plus de protection contre la maladie infectieuse que ce qu’il nous a été permis de croire jusqu’à présent.
Les récentes études parlent ainsi d’un risque de contraction du virus réduit de 89% après la seconde injection. Le ministre de la vaccination, Nadhim Zahawi, a d’ailleurs déclaré que « ces nouvelles informations mettent en évidence l’impact incroyable que les deux doses du vaccin peuvent avoir » et encourage une nouvelle fois les citoyens à se rendre dans les centres de vaccination.