Burt Munro est basésur l'histoire réelle d'un néo-zélandais qui n'a jamais renoncéàses rêves de jeunesse. Une légende encore vivante que fait revivre Roger Donaldson, le réalisateur de 13 jours, sous les traits d'Anthony Hopkins, plus surprenant que jamais
L'affiche du film
Nouvelle Zélande. Fin des années 60. Depuis sa plus tendre enfance, Burt Munro n'a qu'une seule passion: la moto. A 60 ans passé, il n'a jamais quittéson village natal d'Invercargill et rêve de participer àla prestigieuse course de motos de Bonneville dans l'Utah. Parce que Burt croit qu'il faut aller jusqu'au bout de ses rêves de gosse, il réussit àpayer son voyage vers les Etats-Unis, muni de sa vieille moto Indian, rafistolée par ses soins. Une longue route qui le mènera au triomphe et enflammera les esprits de son époque pour l'avoir vu réaliser un nouveau record de vitesse. Le réalisateur Roger Donaldson s'attaque au mythe de ce héros national, symbole d'opiniâtretéet de persévérance. Le record de vitesse de 1967 de Burt Munro demeure en effet toujours intact, comme la légende de cet homme qui a marquéson pays.
Un Anthony Hopkins en grande forme
On retrouve Anthony Hopkins qui, pour l'occasion délaisse son rôle de sadique sanguinaire -qui àvrai dire lui colle un peu àla peau- pour un rôle surprenant qui campe un personnage attachant, malin et un brin gamin. Dans ce road movie, l'acteur réussit àincarner ce fauchéexcentrique, dur d'oreille, cardiaque -et c'est peu dire- avec un plaisir évident. Son jeu est efficace. En forme olympique, le sexagénaire réussit ànous transmettre son énergie communicative et nous offre une belle leçon de vie. Ce film simple, tendre, sans prétention a clôturéle Festival International de Cinéma de San Sébastien en 2005.
Cathy IRAOLA. (LPJ Madrid) 5 mai 2006
Nouvelle Zélande. Fin des années 60. Depuis sa plus tendre enfance, Burt Munro n'a qu'une seule passion: la moto. A 60 ans passé, il n'a jamais quittéson village natal d'Invercargill et rêve de participer àla prestigieuse course de motos de Bonneville dans l'Utah. Parce que Burt croit qu'il faut aller jusqu'au bout de ses rêves de gosse, il réussit àpayer son voyage vers les Etats-Unis, muni de sa vieille moto Indian, rafistolée par ses soins. Une longue route qui le mènera au triomphe et enflammera les esprits de son époque pour l'avoir vu réaliser un nouveau record de vitesse. Le réalisateur Roger Donaldson s'attaque au mythe de ce héros national, symbole d'opiniâtretéet de persévérance. Le record de vitesse de 1967 de Burt Munro demeure en effet toujours intact, comme la légende de cet homme qui a marquéson pays.
Un Anthony Hopkins en grande forme
On retrouve Anthony Hopkins qui, pour l'occasion délaisse son rôle de sadique sanguinaire -qui àvrai dire lui colle un peu àla peau- pour un rôle surprenant qui campe un personnage attachant, malin et un brin gamin. Dans ce road movie, l'acteur réussit àincarner ce fauchéexcentrique, dur d'oreille, cardiaque -et c'est peu dire- avec un plaisir évident. Son jeu est efficace. En forme olympique, le sexagénaire réussit ànous transmettre son énergie communicative et nous offre une belle leçon de vie. Ce film simple, tendre, sans prétention a clôturéle Festival International de Cinéma de San Sébastien en 2005.
Cathy IRAOLA. (LPJ Madrid) 5 mai 2006
Sortie en Espagne le vendredi 12 mai 2006
Genre: Comédie dramatique
Burt Munro, un rêve, une légende ? de Roger Donaldson ? Etats-Unis (2h07) avec Anthony Hopkins, Diane Ladd, Paul Rodriguez
www.cines-verdi.com
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