Elle était en préparation. La voici réalisée. La fusion des éditions de Bangkok et de Chiang Mai a donné naissance à celle que vous lisez aujourd’hui : une édition Thaïlande qui vous parle de tout et de tous.


L’édition Thaïlande du Petit Journal est sous vos yeux. C’est la première fois que vous la lisez. Moi aussi. J’ai souhaité réunir les éditions de Bangkok et de Chiang Mai en une seule parce que nous avons des choses à vous raconter sur la Thaïlande, où que vous vous trouviez. Nous avons envie que vous vous sentiez concerné, où que vous habitiez. Il n’est pas question ici de remettre en cause le statut particulier de capitale qu’est celui de Bangkok. Et nombre de sujets que nous abordons et aborderons y font référence. Moi-même, installé à Chiang Mai, je sais tous les charmes de ma ville. Mais la Thaïlande ne se résume pas à ces deux centres politiques, économiques, touristiques, et de loin. Vous qui connaissez le pays et vivez peut-être ailleurs, vous savez à quel point les actualités et les centres d’intérêt sont partout. Nous ne les avons jamais occultés mais, sous l’appellation Bangkok ou Chiang Mai, ils n’étaient pas tout à fait à leur juste place.
Toute la Thaïlande sous le feu des projecteurs
Désormais, c’est toute la Thaïlande qui sera sous le feu des projecteurs dans cette édition. Et nous avons besoin de vous pour le faire savoir. Parlez-en autour de vous. Abonnez vos amis. Où qu’ils se trouvent, ils sont ici chez eux. Je vous l’ai déjà écrit, nous avons beaucoup à partager. Vous avez besoin du Petit Journal pour vous tenir informé. lepetit journal.com a besoin, lui aussi, des informations que vous détenez, de vos parcours et de vos savoir-faire de francophones en Thaïlande. Aidez-nous à nourrir cette nouvelle édition nationale. Quelles que soient vos idées, partageons-les. Continuons à échanger. Beaucoup. Plus. Mieux. Ce cadre élargi et les nouvelles rubriques que vous découvrirez d’ici la pause estivale, et surtout à la rentrée de septembre, vont nous y aider. Alors je vous dis à très vite, pour vous lire autant que vous me lisez.
Franck STEPLER
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