« A partir de mi-juin, je m’attends à une hausse significative de licenciements », s’inquiète Andrew Sanford, partenaire de la Blick Rothenberg, compagnie de conseil financier auprès des entreprises. « Je vois une énorme augmentation [des questions de clients à propos de licenciements] », alerte Gillian McAteer, à la tête du département droit du travail dans la compagnie de conseil aux affaires Citation. Les experts sonnent l’alarme : une grosse vague de licenciements est attendue dans les semaines et mois à venir. Ayant eu peu ou pas de revenus, les entreprises empruntent pour ne pas couler et pourraient devoir se séparer du personnel. Pour rappel, les consultations pour le licenciement requièrent 30 à 45 jours. Avec les nouvelles conditions pour le chômage partiel du 1 juillet, le processus de licenciements pourrait vite se mettre en marche.
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