Un jeune capitaine de gendarmerie a arboré un T-shirt portant la mention "fuck la police"alors qu'il travaillait au commissariat de police de Bayonne. Un syndicat policier s'insurge et dénonce cette provocation
Le 29 juin dernier, suite à l'arrestation de dix membres présumés de l' ETA, policiers et gendarmes conduisent ensemble des interrogatoires au commissariat de police de Bayonne. L'un des gendarmes porte un T-shirt où l'on peut lire différentes inscriptions, dont "Fuck la police", "Fuck les lois"mais aussi, "Fuck la guerre"ou "Fuck le pétrole". Emoi chez les policiers présents qui dénoncent une provocation : "Alors que le ministère de l'Intérieur a encore rappelé la nécessité de mieux coordonner l'action des services de police et de gendarmerie désormais placés sous une tutelle unique, il semble que certains militaires frustrés aient décidé sciemment de ne pas obéir aux instructions reçues du plus haut niveau de l'Etat". Le syndicat policier Synergie officiers n'a pas beaucoup d'humour et a saisi le ministre de l'Intérieur.
Le service communication de la gendarmerie ne nie pas les fais mais veut calmer le jeu : "Il n'y avait aucune démarche intentionnelle de la part de l'officier concerné, de porter atteinte à la Police Nationale". Le capitaine de gendarmerie qui doit revoir sa garde-robe n'a pas été sanctionné et a été muté, depuis, au bureau de lutte anti terroriste à Paris. MPP (www.lepetitjournal.com) vendredi 25 septembre 2009
Le 29 juin dernier, suite à l'arrestation de dix membres présumés de l' ETA, policiers et gendarmes conduisent ensemble des interrogatoires au commissariat de police de Bayonne. L'un des gendarmes porte un T-shirt où l'on peut lire différentes inscriptions, dont "Fuck la police", "Fuck les lois"mais aussi, "Fuck la guerre"ou "Fuck le pétrole". Emoi chez les policiers présents qui dénoncent une provocation : "Alors que le ministère de l'Intérieur a encore rappelé la nécessité de mieux coordonner l'action des services de police et de gendarmerie désormais placés sous une tutelle unique, il semble que certains militaires frustrés aient décidé sciemment de ne pas obéir aux instructions reçues du plus haut niveau de l'Etat". Le syndicat policier Synergie officiers n'a pas beaucoup d'humour et a saisi le ministre de l'Intérieur.
Le service communication de la gendarmerie ne nie pas les fais mais veut calmer le jeu : "Il n'y avait aucune démarche intentionnelle de la part de l'officier concerné, de porter atteinte à la Police Nationale". Le capitaine de gendarmerie qui doit revoir sa garde-robe n'a pas été sanctionné et a été muté, depuis, au bureau de lutte anti terroriste à Paris. MPP (www.lepetitjournal.com) vendredi 25 septembre 2009
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