Le Premier ministre Ludovic Orban a annoncé le 17 novembre que la Roumanie avait la capacité de réaliser entre 53 000 et 54 000 tests COVID-19 par jour. Cependant, cette capacité n'est pas pleinement utilisée car "soit il n'y a pas de demandes, soit la capacité de prélever les échantillons est limitée", a-t-il expliqué.
Beaucoup de ceux qui sont testés le font à leur propre demande (et à leur compte) car "ils ne sont pas inclus dans la définition de cas", a ajouté le Premier ministre Orban, selon G4media.ro.
Au cours des dernières 24 heures, à la mi-journée du 17 novembre, un peu plus de 31 000 Roumains ont été testés et plus de 8 000 ont été confirmés positifs.
Interrogé sur ce que devraient faire les personnes qui sont en contacts avec des patients testés positifs à la COVID-19 mais qui se voient refuser le test ("non inclus dans la définition de cas"), Orban a déclaré que la DSP (direction de la santé publique) et les services médicaux d'urgence n'acceptent les tests que s'ils se trouvent dans l'une des situations décrites dans les définitions de cas. "Les choses sont simples", a conclu le Premier ministre Orban.
Selon l'Institut national de la santé publique (INSP), les personnes qui ont été en contact avec des personnes infectées ne sont testées que si elles présentent des symptômes. De plus, depuis la mi-septembre, l'INSP a établi qu'une personne doit présenter au moins trois symptômes pour être testée, et pas seulement un, comme auparavant.
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