Un nouveau sondage du Centre de sociologie urbaine et régionale (CURS) montre que la plupart des Roumains estiment que le pays va dans la mauvaise direction. En outre, environ 40 % des Roumains s'attendent à ce que leur situation se détériore d'ici un an, l'inflation, les faibles revenus et la corruption étant parmi les principaux problèmes auxquels les Roumains sont confrontés.


Parmi les principaux problèmes auxquels les Roumains sont confrontés, l'inflation et les prix arrivent en tête de liste (19%), suivis par les faibles revenus (pensions, salaires) et le niveau de vie - 17%, la corruption (16%), l'emploi - 8%, l'économie, la crise économique - 7% et santé - 7%.
Au total, 69% des personnes interrogées estiment que la Roumanie fait plutôt fausse route. Seuls 22% estiment que les choses vont dans la bonne direction, et 9% ont refusé de répondre, selon l'enquête CURS citée par Agerpres (ro-insider.com).
Parallèlement, 41% des personnes interrogées s'attendent à une aggravation de leur situation dans un an, et 38% pensent qu'elle sera la même. Seuls 18 % pensent que ce sera mieux.
Parmi les principaux problèmes auxquels les Roumains sont confrontés, l'inflation et les prix arrivent en tête de liste (19%), suivis par les faibles revenus (pensions, salaires) et le niveau de vie - 17%, la corruption (16%), l'emploi - 8%, l'économie, la crise économique - 7% et santé - 7%.
En ce qui concerne les institutions auxquelles les Roumains font le plus confiance, les pompiers arrivent en tête (73% ont confiance et une grande confiance), suivis par l'armée (68%), l'Église (63%), la mairie (46%), l'OTAN. (42 %) et Éducation/École (42 %). A l'autre extrémité de l'échelle, seuls 10 % ont confiance dans les partis politiques et 13 % dans le Parlement ou l'Administration présidentielle.
Concernant l’adhésion de la Roumanie à Schengen, 33% estiment qu’elle n’aura probablement pas lieu cette année, et 27% estiment que cela n’arrivera certainement pas. 41% pensent que l'Autriche est responsable de l'échec de la Roumanie à rejoindre l'espace Schengen, tandis que 21% pensent que c'est la faute du gouvernement roumain.
L'enquête a été menée à l'échelle nationale entre le 12 et le 22 septembre auprès de 1 008 personnes âgées de 18 ans et plus.
