Le Syndicat des Médecins Indépendants et la Fédération Nationale des Médecins comptent bien poursuivre les négociations avec le gouvernement, estimant que ce dernier est en mesure d’assurer pleinement ses fonctions malgré le fait qu’il soit démissionnaire.
Les prises de position du gouvernement sont jugées insuffisantes par les syndicats médicaux.
Bien que le gouvernement ait déjà accepté un changement progressif du temps de travail à 35 heures, une augmentation de salaire significative et une diminution progressive de 6 heures du temps de travail aux urgences, ce qui constitue une partie significative des revendications demandées, il semble que les négociations restent bloquées. Manuel Pizarro affirme que le gouvernement examine activement les conditions de reprise de la négociation avec les syndicats médicaux. Malgré tout, il affirme que cette entreprise demeure plus délicate dans un climat d’instabilité gouvernementale.