Un déclic à confirmer (Celta de Vigo 1 – 2 Valencia CF)

Incroyable mais vrai, les blanquinegros ramène trois précieux points de Vigo. Et avec une remuntada s’il vous plaît.
Une histoire de gardiens
S’ils ont sur de nombreux aspects dominé la rencontre, les attaquants Valenciens ont eu affaire à un gardien adverse disposé à ne rien laisser passer. Neto n’a pas été mauvais sur sa ligne, repoussant magistralement un but tout fait en fin de première période.

Malheureusement, sur le corner qui a suivi, le gardien brésilien ne pouvait que s’incliner. Sur leurs deux seules vraies actions, le Celta s’est montré beaucoup plus efficace que les valenciens. Une dure réalité qui semblait mener le match vers un résultat forcément défavorable aux Ches.
La pépite Ferran
Entré à la place de Carlos Soler à l’heure de jeu, Ferran Torres s’est immédiatement mis dans le bain et à très vite déstabilisé la défense adverse. Bien aidé par les appels en profondeur de Gameiro, qui avait remplacé un Cheryshev peu convaincant, le canterano a égalisé sur un magnifique extérieur en demi-volée venu mourir sur le petit filet. Imparable et génial. Un but qui confirme le talent du jeune joueur de 18 ans.

Peu de temps après, sur un léger cafouillage de la défense adverse, Gameiro se retrouvait en position idéale et servait sur un plateau Rodrigo Moreno qui trouvait (enfin) le chemin des filets. Un but qui va faire énormément de bien à l’international espagnol, en proie au doute depuis de nombreuses journées.
Des changements qui ont payé
Même si Iago Aspas était absent côté Celta de Vigo, la domination du Valencia CF sur cette rencontre laisse présager que l’attaquant aurait eu peu de ballons à se mettre sous la dent.

A l’image de la rencontre de Copa del Rey de ce mardi, il aura fallu attendre plus d’une heure pour que les ches retrouvent un semblait de dangerosité offensive. La sortie de Cheryshev a permis de libérer Gaya, trop souvent oublié par le Russe.
Marcelino commencerait-il a mettre le doigt sur les problèmes de son équipe ? Ces dernières rencontres, les remplaçants ont joué un rôle-clé dans le 30 dernières minutes. Il serait peut-être temps de laisser la place aux canteranos, qui montrent beaucoup plus d’envie sur le terrain que les indéboulonnables du coach.