La Climate card a débarqué dans les moyens de transport à Séoul. Du vélo au métro en passant par les bus, à quoi sert exactement cette carte et comment s'en servir ?
Elle est arrivée dans les konbinis et les accueils des stations de métro. La fameuse Climate card, annoncée par le gouvernement métropolitain de Séoul quelques mois plus tôt, a été vendue à plus de 62.000 exemplaires - dématérialisé et physique compris - le premier jour de sa mise en place, le 23 janvier 2024.
Qu'a-t-elle de spécial ? Que ce soit pour ceux qui habitent à Séoul ou ceux en visite pendant un mois au moins, la carte propose un abonnement mensuel d'environ 43 euros (62 000 wons sans le vélo, 65 000 avec) comprenant l'utilisation de tous les transports de la capitale (à l'exception des navettes express pour l'aéroport ou de la Sinbundang Line).
Comment l'obtenir ?
Pour obtenir le précieux sésame, plusieurs solutions sont possibles. Soit se rendre directement dans une station et se rendre soit à l'accueil, soit dans un convenient store pour acheter une version physique de la carte. Attention, elles sont très vite en rupture de stock, il faut donc préférer s'y rendre tôt le matin.
Pour une version dématérialisée, l'application Tmoney (disponible sur Android et Apple store) vous permettra de l'acheter et la recharger facilement. Il suffit de s'inscrire, et de l'acheter avec un simple transfert d'argent.
Comment s'en servir ?
D'abord, il faudra la recharger. Pour la dématérialisée, rien de plus simple puisque tout se fait sur l'application. Mais pour la carte physique, après l'avoir payée 3.000 wons, il faudra se rendre sur l'une des machines de rechargement de carte.
Il faudra donc choisir parmi deux options, avec ou sans vélo, et vérifier la date de début de la carte ainsi que celle de fin. À chaque passage de portique pour le métro, la date s'affiche pour facilement se rappeler à quel moment il sera opportun de recharger son titre de transport.