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Théophile Hancké : après l’EDHEC, une brillante carrière en perspective

Théophile Hancké à l'EDHECThéophile Hancké à l'EDHEC
Écrit par EDHEC Business School
Publié le 26 septembre 2021, mis à jour le 27 septembre 2021

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Après avoir terminé sa scolarité au Lycée Français International de Hong Kong par une mention très bien au baccalauréat, Théophile Hancké intègre l’EDHEC International BBA, dont il sort major de sa promotion. Ce programme post-bac en 4 ans, dispensé à Lille et à Nice, se distingue, entre autres, par sa dimension internationale et par l’excellence académique qui fait toute la renommée de l’école.  

 

Le jeune homme, qui a aujourd’hui intégré le marché du travail, revient sur son parcours académique, et nous raconte les débuts d’une carrière pleine de belles promesses.

 

Lepetitjournal.com : Quelles ont été les grandes étapes de votre parcours académique ?

Théophile Hancké : Je me suis expatrié à deux reprises au cours de ma vie, d’abord à Munich, puis en Chine, où mon père avait été muté. J’ai donc réalisé ma terminale ES au Lycée Français de Hong Kong.

Je suis ensuite rentré en France pour mes études supérieures. C’est là que j’ai intégré, sur le campus de Lille, l’EDHEC International BBA, parcours Business Management.

 

Pourquoi avoir fait le choix de l'EDHEC Business School ?

Ce qui m'a beaucoup plu à l'EDHEC, c’est d’abord l’aspect très pratique du programme, et la possibilité de réaliser un stage par an, dès la première année. L'idée de mettre rapidement en application ce que j’avais vu en cours me plaisait beaucoup. 

J’ai aussi été attiré par la dimension internationale, la possibilité de partir en échange académique (je suis parti un semestre à Manchester), et de réaliser des stages à l'étranger. Et bien sûr, par la renommée de l’école et la diversité des débouchés à l’issue du cursus.

 

Quels étaient vos objectifs professionnels au moment d’intégrer l'EDHEC Business School ?

J'étais plus attiré par le secteur commercial que par le marketing, mais je n’avais pas encore défini avec précision mes objectifs professionnels. C'est aussi ça l'avantage de l’EDHEC : pendant les deux premières années, les enseignements sont assez généralistes. On étudie un panel de matières assez large et on découvre un peu tous les pôles de l’entreprise. Ça permet de définir progressivement ce qui nous plaît, avant de se spécialiser en 3ème et en 4ème année.

Je trouve que c'est un excellent programme pour des jeunes qui ont la fibre commerciale sans pour autant avoir une vision claire de leur projet professionnel. C’est vraiment une belle opportunité, qui ouvre un large éventail de possibilités.

 

Quel a été votre parcours après l’EDHEC International BBA ? Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Lors de ma dernière année à l’EDHEC, j’ai choisi la spécialisation en retail management, qui m’a beaucoup plu.

J'ai ensuite réalisé un stage de fin d’études en grande distribution chez Henkel, où j’ai travaillé en tant qu’Assistant Category Manager sur l’enseigne Auchan, dans le service commercial.

Suite à cette expérience, j’ai souhaité continuer à développer mes compétences en retail. J’ai donc rejoint le Master Spécialisé « Marketing, Management & Digital » de l’ESSEC, et je me suis spécialisé au second semestre en rejoignant la Chaire Grande Consommation, un programme financé et animé exclusivement par des entreprises du secteur. Tous les intervenants sont donc des professionnels de grandes entreprises (Procter & Gamble, Danone, Carrefour, Lidl…). Cela m’a permis d’avoir une vision d'ensemble sur le secteur et sur les enjeux actuels.

Aujourd’hui, je commence un CDI en Graduate Program, chez Carrefour. Le groupe recrute en effet une dizaine d’étudiants chaque année, dans plusieurs écoles différentes. L’objectif est de nous former de façon intensive, en deux ans, pour nous amener à être opérationnels très rapidement. Cela permet de découvrir l'organisation dans sa globalité, d’acquérir une vision stratégique et de se positionner très vite sur des postes à responsabilités.

Je vais donc réaliser plusieurs rotations sur 2 ans, et je vais avoir l’opportunité d’évoluer sur des missions stratégiques au siège, sur le terrain avec des passages en magasin (hypermarchés, supermarchés, magasins de proximité), en logistique avec une immersion en entrepôt, ainsi qu’une mission de 5 mois l’international dans l’un des pays où le groupe est implanté.

 

Que retirez-vous de vos études à l’EDHEC sur le plan humain, académique et professionnel ?

L’EDHEC m’a énormément apporté sur beaucoup de plans. La richesse de la vie associative m’a particulièrement plu. J’ai fait partie du Bureau des Sports pendant deux ans, d’abord au pôle communication et ensuite en tant que vice-président. C’était très responsabilisant, car les associations ont finalement un fonctionnement assez proche de celui des entreprises : il y a des réunions, une hiérarchie, des deadlines à respecter, des engagements à tenir… C’était une très belle expérience et cela m’a permis de mettre en pratique dans la réalité les notions vues en cours.

Sur le plan humain, l’EDHEC regroupe énormément de profils différents, de tous les horizons. C’est très agréable d’avoir une telle mixité et de voir autant de parcours différents. Cela apporte aussi beaucoup en termes de réseau pour l’avenir.

D'un point de vue professionnel, le fait que les cours soient très orientés pratique, avec beaucoup de mises en situation, m’a énormément apporté. Lors de mes stages, c’est d’ailleurs quelque chose qui était très apprécié par les entreprises. Les managers constataient eux-mêmes que, par rapport à d’autres écoles, nous avions été particulièrement bien préparés à la réalité du monde de l’entreprise, et formés pour être rapidement autonomes. Mes études à l’EDHEC m’ont aussi permis de préciser mes objectifs professionnels.

 

Au moment d’intégrer le marché du travail, quels sont les points forts de votre parcours qui ont été particulièrement valorisés par les employeurs ?

Je pense que les expériences à l'étranger permettent vraiment de tirer son épingle du jeu. Le fait de pouvoir dire, lors d’un entretien, que j’ai vécu dans tel nombre de pays à mon âge, a été très valorisé. Je pense que les employeurs se souviennent plus facilement des profils au parcours international. 

Dans le process de recrutement chez Carrefour par exemple, l’une des principales compétences demandées était la capacité d’adaptation, que ce soit pour s’adapter à la diversité des missions ou aux différentes personnes. Le fait d'avoir vécu à l'étranger et de m’être confronté à plusieurs cultures était donc un argument solide pour démontrer ma capacité d’adaptation. 

 

Qu’envisagez-vous pour l’avenir ?

Je compte sur ces deux prochaines années pour continuer à affiner ma vision professionnelle. Pour le moment, cela me tient à cœur de commencer ma carrière en France, car j’y suis très attaché. À long terme, je pense que cela me plairait de réaliser des rotations de 2 ou 3 ans à l’international dans des pays du groupe.

 

 

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Publié le 26 septembre 2021, mis à jour le 27 septembre 2021

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