Les professionnels du marché de Koyambedu font triste mine. L’activité n’a pas repris son niveau d’avant la crise.
Les ventes actuelles de légumes et de fleurs ne représentent que 30 % du volume antérieur. Les prix s’effondrent (sauf la carotte !). Par exemple, les roses qui se négocient aux alentours de 70 roupies sont bradées aujourd’hui à 10 roupies.
Les temples sont fermés les week-ends, la fréquentation des restaurants reste faible et les fêtes familiales limitées.