Édition internationale

Ouverture de A.MUSE.UM

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Écrit par Rédaction LPJ Beyrouth
Publié le 12 octobre 2018

Communiqué de presse
 

Nadim Karam a inauguré son nouveau studio de travail, A.MUSE.UM, le 15 septembre 2018 à Daroun-Harissa, en présence d’architectes, d’artistes, de collectionneurs, de critiques d’art, de conservateurs ainsi que de directeurs d’institutions culturelles et d’art au Liban et à l’étranger.

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A propos de A.MUSE.UM
L’espace a été imaginé et conçu par Nadim Karam et Atelier Hapsitus, le groupe pluridisciplinaire qu’il a fondé en 1996, comme un paysage inversé : un espace propre à Karam pour réfléchir, créer et expérimenter. Sur le flanc de la colline au-dessus de l’atelier, se trouve la résidence de la famille de Karam, restaurée par Hapsitus avec des interventions acuponcturales minimales. Rendant hommage à la maison traditionnelle libanaise en pierre située plus haut et immergé lui-même dans le village, A.MUSE.UM réinterprète le paysage traditionnel tout en créant une nouvelle plate-forme contemporaine.

A.MUSE.UM a été initié depuis plusieurs années et a subi de nombreux changements avant d’aboutir à son concept final et caractère actuel, à savoir un générateur d’idées ainsi qu’un réceptacle de l’univers mental de l’artiste. Il constitue le point de départ d’un dialogue prévu entre l’art, l’architecture, les processus de pensée et les contextes de création.

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A propos de l’Exposition A.MUSE.UM : Traces d’un Rêve Rhizomatique
L’exposition organisée, A.MUSE.UM : Traces d’un Rêve Rhizomatique, met en relief la symbiose entre l’art et l’architecture. Elle comprend des œuvres choisies de Karam ainsi qu’une installation interactive réalisée par l’artiste Jason Akira Somma.

L’exposition est un parcours physique dans l’architecture inversée du nouveau studio de Nadim Karam et une immersion dans les traces mentales de ses rêves qui germent partout autour du monde.

Le travail exposé remet l’accent sur les concepts de l’artiste portant sur l’architecture de performance et l’architecture narrative qu’il a développés durant ses dix années d’études à l’Université de Tokyo, et qui sont devenus les idées fondamentales sous-jacentes de son ensemble de travaux le plus récent. L’exposition invite les visiteurs à « jouer » l’architecture définie par les négociations d’espace de Karam : sa nouvelle série de tableaux intitulée Chorégraphie de l’Espace (Choreography of Space) 1- inspirée par l’espace lui-même, sa maison libanaise traditionnelle et le travail du chorégraphe contemporain William Forsythe- son travail sur la mémoire (Trou de Mémoire), les pensées (Pensées Contextuelles et Pensées en Déplacement), son refus du statu quo (Lutte : En progrès et Le Déclencheur et le Cri des médias) ainsi que sa performance filmée (Célébration de la Vie : Les Funérailles).

A cette occasion, la revue SELECTIONS a lancé une édition spéciale intitulée ÊTRE NADIM KARAM (BEING NADIM KARAM).

 

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Référence : William Forsythe