Naomi Westland, attachée de presse chez Amnesty International Royaume-Uni, a retrouvé les chercheurs d'Amnesty en Grèce qui étudient la situation des réfugiés et des migrants tentant d'entrer en Europe continentale. La semaine dernière, elle a écrit depuis l'île de Lesbos, où elle et ses collègues ont rencontré des personnes qui fuyaient la guerre, la violence et la faim et tentaient d'entrer en Europe continentale. Témoignage
En quête de sécurité ?
Des migrants à la place centrale de Mytilène, Lesbos, Grèce, avril 2013©AI
Tous les gens à qui nous avons parlé prévoyaient d'aller à Athènes. Ils pensaient que, dans la capitale, les choses commenceraient à s'améliorer. Malheureusement, la réalité est tout autre.
"Nous sommes venus ici pour mettre nos enfants en sécurité mais nous nous trompions, a déclaré Amirah, une réfugiée syrienne qui a effectué la dangereuse traversée de la Turquie à l'île grecque de Samos avant de rejoindre Athènes. Nous avons peur de sortir à cause des racistes, et quand nous voyons des policiers nous savons que nous pourrions être arrêtés et mis en prison." ... Lire la suite sur le site d'Amnesty International.
(www.lepetitjournal.com/athenes) Vendredi 16 mai 2013
Amnesty International : www.amnesty.fr
En savoir plus sur la situation des migrants en Grèce : Vidéo "Into the Fire - The Hidden Victims of Austerity in Greece"