Le Cambodge n'est jamais loin de l'esprit des francophones vivant à Singapour. Le groupe humanitaire du LFS a noué des partenariats avec plusieurs associations, le fondateur de Krousar Thmey, Benoit Duchateau, est très engagé auprès des jeunes basés à Singapour, et l'association Enfants du Mekong dispose de relais très actif dans la cité Etat. L'édition du Petitjournal au Cambodge publiait cette semaine un article consacré à une initiative transversale, celle d'un passionné de Rugby, Jean-baptiste Superbié, qui a créé Kampuchéa Ballop, pour mettre au service des ONG présente, tout ce que l'esprit de l'ovalie, est capable de leur apporter.
Kampuchéa Balopp ou la culture du ballon ovale sans frontière
Jean-Baptiste Suberbie, ce Bordelais de 27 ans, passionné de rugby, à décidé de créer Kampuchéa Balopp, une ONG qui a pour but d'initier de jeunes cambodgiens issues d'autres ONG à la pratique du rugby. Mais le jeu collectif n'est pas le seul objectif de cette ONG qui souhaite avant tout véhiculer des valeurs d'égalité entre les sexes et de confiance en soi à une génération qui manque encore de repères solides.
Le Petit Journal.com/cambodge : Comment vous est venue l'idée de créer Kampuchéa Balopp ?
Jean-Baptiste Suberbie : J'ai commencé il y a un an et demi à m'occuper du rugby au Cambodge. J'ai d'abord travaillé bénévolement pendant 9 mois pour la CFR, Fédération Cambodgienne de Rugby. Pendant ces 9 mois de bénévolat j'étais aussi chargé de mettre en place des activités rugby au sein de diverses ONG en tant qu'outil de communication et d'insertion sociale. Sauf qu'après 9 mois sans être payé et bien je n'avais plus d'argent pour vivre donc on a dû trouver une solution et on a décidé de monter Kampuchéa Balopp - qui veut dire "Cambodge Rugby" en phonétique cambodgienne - et qui est une ONG indépendante enregistrée en France.
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Bertrand Fouquoire (www.lepetitjournal.com/singapour) vendredi 25 octobre 2013