John Curtin Gallery: «Everything is true» par Abdul-Rahman Abdullah.
Cette exposition présente une série de mise en situation d’animaux et d’objets, certaines assez dures, d’autres plus visuelles et poétiques mais chacune chargée d’émotions et a priori de souvenirs. Je vous recommande de lire les commentaires associés car ils donnent des explications quasi impossibles à deviner. Cette expo vaut le trajet jusqu’à Curtin university.
PS Art space (PSAS): “Meet me in my background” par Lora Flora et Jamie McWilliam.
Photographies de paysages de «Western Australia» où se cachent des personnes entièrement maquillées pour se fondre dans la nature et devenir nature. Ces corps nous rappellent comment nous pouvons être affectés par la nature qui nous entoure, comment nous devons nous y adapter et changer en fonction de ses propres changements. Une énergie forte dans toutes ces photos qui ne vous laisseront pas indifférent.
PICA: «The gathering».
Collection hétéroclite de photographies, de peintures, de sculptures, d’installations par différents artistes, tous inspirés la notion de communauté, de souvenirs collectifs et de partage. Certains vous parleront, d’autres pas mais l’histoire derrière ces œuvres est intéressante et nous amène à réfléchir.
Lawrence Wilson Gallery: “Dislocation” par Olga Cironis.
Olga explore à travers ses œuvres les notions identité et de globalisation sous multiples facettes et supports. Deux autres expositions sont aussi présentées dans cette galerie, «Paper cut», oeuvre sur papier réalisée par des étudiants et l’autre «Ochered, pokered and twined» présente 100 ans de création aborigènes venant de la collection du musée Bernt.