Le chiffre, annoncé par la célèbre Institution Financière Internationale dans un rapport paru mercredi, a toutefois généré débats et scepticisme chez un bon nombre d'experts économiques. Selon ces derniers, le fort taux de croissance prévu aurait sous-estimé l'impact des inondations, la dépréciation du Kyat, l'inflation galopante ainsi qu'une demande mondiale morose. Les investissements étrangers directs, dont on prévoyait un envol avec l'arrivée du nouveau gouvernement, viennent également nuancer le tableau. Alors qu'ils avaient atteint près de 2 milliards entre Avril et Août l'an dernier, selon la Commission des Investissements, ils n'ont été "que" de 701 millions cette année.
(www.lepetitjournal.com/Birmanie) Vendredi 7 Octobre 2016







