

Une enquête sur le département d’Installation des Hommes et de Développement du Logement (Human Settlement and Housing Development) du ministère de la Construction est en cours, lui reprochant d’avoir dépensé 347 000 dollars américains pour poncer les portes en teck des bâtiments du Parlement et de la résidence présidentielle durant l’année fiscale 2017-2018. Les régulations du Parlement obligent les coûts supérieurs à 7 500 dollars américains à être réalisés par des intervenants privés. Dans ce cas, le département a découpé les coûts en plusieurs projets de 7 500 dollars chacun, contournant la règlementation. Pour éviter que cette situation ne se reproduise, tous les budgets de maintenance devront maintenant être soumis au Comité du Parlement afin d’être approuvés. La situation s’aggrave toutefois lorsque des députés affirment que les portes ne sont même pas bien poncées…







