Après l'accord de gouvernement entre le PSOE et Unidas Podemos, les calculettes sont tirées pour trouver au Parlement espagnol la majorité qui permettra de sceller ce pacte.
Et dans ce jeu arithmétique, Esquerra Republicana de Catalunya (ERC) retrouve une positon clé avec ses 13 députés. Le parti d'Oriol Junqueras, arrivé en tête le 10N en Catalogne, n'a certes pas été ménagé par Pedro Sanchez au cours de la campagne électorale, mais la caution de Pablo Iglesias pourrait faire pencher la balance du parti indépendantiste catalan en faveur d'une abstention (décisive en cas d'appui du PNV). D'autant que la rupture semble consommée entre JuntsxCat et le président du gouvernement espagnol en fonction, après ses attaques directes contre Carles Puigdemont.
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