Si appréciée des médias étrangers, l'attitude de Jacinda Ardern a été saluée à de multiples reprises à travers le monde. Pour sa gestion de la crise du Coronavirus notamment, mais aussi l’attentat de Christchurch ou encore son intervention à l'ONU. Son calme, sa compassion et sa détermination dessinent le visage d’une grande personnalité. Découvrez 5 anecdotes que vous ne soupçonniez pas sur la Première ministre Néo-Zélandaise :
1) Jacinda Ardern est une ancienne Mormone
Fille d’un policier, Jacinda Ardern a été élevée par l’Église mormone jusqu’en 2007, année durant laquelle elle décide de s'en détacher en raison, notamment, de certaines positions homophobes.
2) Jacinda Ardern est fondamentalement féministe
Dès sa campagne électorale, Jacinda Ardern avait répondu avec tact à des questions sur la maternité. Face à des remarques sexistes elle avait notamment rétorqué qu'il était inacceptable que cette question puisse encore influencer l’emploi d’une femme.
Elle fut également la première dirigeante à emmener avec elle son enfant de 3 mois lors d'une Assemblée Générale de l’ONU.
3) Jacinda Ardern est une ancienne DJ
C’est peut-être le fait le plus surprenant. Jacinda Ardern, depuis le lycée, a fait plusieurs apparitions dans divers clubs et festivals, notamment en 2014, au St Jerome's Laneway Festival à Auckland, renforçant son image "cool" auprès d'un électorat plus jeune.
4) Jacinda Ardern est la plus jeune Première Ministre de Nouvelle-Zélande de l'histoire
Considérée par beaucoup comme l'une des meilleures dirigeantes de Nouvelle-Zélande depuis un siècle, Jacinda Ardern est aussi la plus jeune à occuper le poste de Première Ministre depuis 1856 (37 ans).
5) Jacinda Ardern est plus appréciée à l’étranger qu'en Nouvelle-Zélande
À seulement 6 mois des élections, Jacinda Ardern doit faire face au Parti National (Centre Droit) actuellement en tête des sondages avec 46 % des voix : « C’est tout le paradoxe d’une dirigeante qui, comme jadis les Américains John F. Kennedy ou Barack Obama, est plus populaire à l’étranger que chez elle », observait le politologue Stephen Levine de l’Université Victoria de Wellington.