Suite à la fermeture des frontières liées à la crise du COVID, le secteur de la construction à Auckland fait face à un manque de main-d’œuvre qualifiée.
Avec la COVID et la fermeture des frontières, l'arrivée d'ingénieurs étrangers en Nouvelle-Zélande est forcément devenue plus difficile. Cette pénurie de main d'oeuvre ne manque pas de se faire ressentir sur des projets de grandes envergures tels que le City Rail Link ou le Central Interceptor.
D'après Steve Webster, l'un des hauts dirigeants en charge du gigantesque projet d'assainissement conduit par Watercare, un grand nombre de pays a également fait le choix d'investir dans l’infrastructure pour stimuler l'économie renforçant la concurrence : « Il y a une dérive notable vers l’Australie dans l’industrie de la construction où les salaires sont plus élevés et le coût de la vie souvent plus favorable » explique-t-il.
Skilled labour shortages hit Auckland infrastructure projects https://t.co/4RWoKxbvQF
— Waikato Times (@waikatotimes) July 28, 2021