Édition internationale
Radio les français dans le monde
--:--
--:--
  • 0
  • 0

Un Français lève $1,4 million en Nouvelle-Zélande et devient « Supergenerous » !

Guillaume Dehan, fondateur de SupergenerousGuillaume Dehan, fondateur de Supergenerous
Guillaume Dehan, fondateur de Supergenerous.
Écrit par Nicolas Roger
Publié le 9 juin 2021, mis à jour le 27 août 2021

La plateforme Supergenerous a annoncé avoir levé 1,4 million de dollars pour agrandir son activité et augmenter l'impact des dons aux œuvres caritatives en Nouvelle-Zélande.

Anciennement Fund a Future, Supergenerous créée par le Français Guillaume Dehan est une plateforme numérique visant à automatiser le remboursement fiscal pour les résidents Néo-Zélandais faisant des dons aux œuvres caritatives, écoles et œuvres religieuses. En effet, lorsqu'un donateur soutient une ou plusieurs œuvres, ils ont la possibilité de récupérer un remboursement fiscal, en Nouvelle-Zélande, cela représente 33 % du montant du don initial. Pour un don de 100 $, vous pouvez obtenir jusqu’à 33 $ de remboursement d’impôts, cependant seulement une personne sur trois font les démarches nécessaires, car celle-ci est trop compliquée ou remise à plus tard. Supergenerous, automatise ce travail à votre place et récupère le capital, ensuite, vous donne le choix d'en faire bénéficier les œuvres caritatives que vous soutenez déjà ou de le récupérer dans votre compte.

En quelques semaines l'équipe Supergenerous a déjà identifié plus de 800.000 dollars de dons admissibles

En Nouvelle-Zélande, chaque année, près de 250 millions de dollars de remises d'impôts sur les dons, ne sont pas réclamés et pourraient être ainsi redistribués aux œuvres caritatives, écoles et organisations religieuses. « Les clients apprécient vraiment le fait que nous puissions réclamer tous leurs reçus de dons au cours des quatre dernières années, puis continuer à les réclamer à l'avenir, ce qui leur évite les tracas de garder précieusement des reçus comme preuve de dons et ensuite de faire la déclaration auprès de l'IRD chaque année », explique Guillaume Dehan.

 

 

Flash infos