Selon la législation, l'enregistrement des véhicules, l'inspection de Puspakom – société d'inspection des véhicules - l'obtention d'une licence publique et la détention d'une assurance de couverture en cas d'accident, sont autant de conditions que les chauffeurs de véhicule travaillant pour Grabcar ou Uber devront désormais respecter pour être en accord avec la loi.
Les services de taxi à la demande tels que Grabcar ou Uber voient leur nombre d'utilisateurs croître de jour en jour. Une volonté de réguler ces transports a également été émise par le ministre, ce qui est considéré comme une véritable chance pour une ville comme Kuala Lumpur, la plaçant au même niveau que d'autres métropoles comme Jakarta et Bangkok. Le ministre souhaite en effet tirer profit de ces applications plutôt que de les voir surpasser les pouvoirs des autorités.
Marie Crabié (www.lepetitjournal.com/kuala-lumpur.html) lundi 17 octobre 2016
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