Conformément au code pénal de 2015 défini dans la Constitution de 2013, à partir du 1er juillet 2016, toute personne arrêtée, détenue, inculpée ou accusée « a le droit de s'exprimer, n'est pas obligée de déclarer à son détriment ou de plaider coupable ».
Elle pourra également choisir de se défendre elle-même ou de recourir à un avocat. Enfin, l'interrogatoire devra s'effectuer avec un enregistrement sonore ou visuel et en présence de l'avocat.
Service de presse du Consulat général de France (lepetitjournal.com/Hochiminhville) 21 Avril 2016

