Comme ont tenu à le rappeler de nombreux médecins et professionnels de santé, les personnes présentant des symptômes du COVID-19 et qui n’effectuent pas un test pour s’en assurer doivent assumer une grande partie de la responsabilité de l'augmentation du nombre de cas dans le pays.
Il semblerait en effet que nombreux soient ceux qui apparentent leurs symptômes à une grippe, sans pour autant le vérifier et éventuellement s’isoler le cas échéant.
Il est d’ailleurs rappelé l’importance de se faire tester si l’on est cas-contact, afin d’essayer de limiter la propagation du virus.
Parmi les autres facteurs de propagation se trouvent notamment l’apparition de nouveaux variants, davantage d’évènements sociaux organisés en intérieur (en raison des hausses de températures) ainsi qu’une certaine « relâche » constatée en matière de port du masque.
Et cela se ressent dans les chiffres puisque le taux d’infection journalier qui était de 200 le mois dernier atteint désormais 1 400. Les médecins s’accordent en revanche sur le fait que peu de personnes ont dû être hospitalisées et un faible nombre de patients ont eu une pneumonie ou des complications respiratoires.