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Catherine Berthelot, un chemin vers l’énergie positive

Catherine Berthelot, un chemin vers l’énergie positiveCatherine Berthelot, un chemin vers l’énergie positive
Écrit par Marie-Jeanne Acquaviva
Publié le 2 août 2021, mis à jour le 3 août 2021

Difficile de le nier, même si l’on s’efforce d’être positif, nous vivons des temps troublés, gérer le flux d’information en continu, l’isolement social, l’incertitude… que ce soit pour les adultes ou a fortiori pour les enfants, le quotidien en temps de pandémie ne va pas de soi. Le corps médical dans son ensemble s’accorde aujourd’hui à dire que le prix à payer en termes d’angoisse, de stress, de troubles d’ordre alimentaire, du sommeil ou de la nervosité sera important et diffus. Que faire? Nous n’avons pas tous à disposition les ressources nécessaires pour faire face, et aujourd’hui plus que jamais il faut savoir demander de l’aide. Mais vers qui se tourner? Chacun son chemin bien entendu, et à chacun de trouver la source de bien être, qui saura le soulager et l’aider. C’est une histoire de chemin justement que nous voulions vous raconter aujourd’hui, celui de Catherine, le chemin d’une personne lumineuse, profondément tournée vers les autres et qui aujourd’hui consacre toute son énergie à leur apporter équilibre et bien être.

 

Catherine aujourd’hui vous êtes thérapeute, plus exactement énergéticienne spécialisée en Pranathérapie. Avant d’expliquer à nos lecteurs de quoi il s’agit, racontez-nous ce qui vous a poussé vers ce domaine ?

 

Oui j’ai réalisé récemment en fait l’importance de ce chemin… J’ai grandi en Afrique où nous avions déjà à l’époque une vie d’expat très gâtée et agréable, mais profondément ancrée dans le partage, et le vivre ensemble. Après l’école, je vivais dehors à courir pieds nus; nous avions une existence empreinte d’un  esprit « bon enfant » qui aujourd’hui a les saveurs d’un paradis perdu. Dès mon plus jeune âge, j’ai cet instinct, cette attirance vers l’autre. Nous recevions beaucoup de cette communauté autour de nous, et nous donnions beaucoup en retour. Un jour vient le retour en France et pour moi c’est la catastrophe émotionnelle : porter un uniforme - porter des chaussures ! - s’adapter à des règles formelles et strictes de bienséance, tout ça avec des parents qui eux aussi sont déconnectés de la France après plus de 15 ans passés à l’étranger…

 

Vous vous sentez à part, très différente, mais toujours avec cette envie d’aller vers les autres ?

 

Oui et, ce qui me sauve c’est le scoutisme (rires) ! J’y retrouve la nature, la camaraderie, le sens du partage, de l’entraide - je m’implique dans plein de projets en grandissant - oui vraiment cela me sauve de cette sensation de cloisonnement « chacun chez soi », que je ressens depuis notre retour.

 

Vient le temps des études, vers quoi vous dirigez-vous ?

 

Je vais faire un choix rationnel, et je me tourne vers une école de commerce, avec au fond de moi toujours l’envie de socialiser : je vais toujours trouver un moyen -  parfois en pointillé - d’aller vers les autres. Cela se traduit par une énorme participation aux activités créées par le BDE (rires). Je continue toujours à recevoir plein d’amis chez moi, faire le lien, parler, communiquer, aider. Et surtout je commence à voyager à l’étranger !

 

Vous parlez de « choix de raison » et le choix du cœur quel était-il ?

 

Eh bien enfant je voulais faire sage-femme ! Comme une de mes grandes cousines, je trouvais que c’était un métier fantastique, elle m’en parlait si bien ! Et puis j’ai aussi pensé à assistante sociale… Mes parents m’en dissuaderont, avec comme tous les parents l’intention louable de me protéger d’un chemin professionnel qu’ils imaginent difficile. Je finis donc en marketing et commerce international, où - c’est surprenant (rires) - j’excelle car au fond il s’agit d’écouter l’autre, et pour moi c’est une seconde nature.

 

Mais vous n’êtes pas vraiment à votre place ?

 

Effectivement, même si ça marche bien, ça ne « clique » pas vraiment, c’est le moins qu’on puisse dire. J’exerce plein de métiers, et finalement surtout l’enseignement pendant plus de 15 ans  - un métier que j’adore et que j’exerçais encore cette année. Puis il y a 4 ans, il m’arrive un souci de santé assez grave. Je me soigne en urgence auprès de la médecine traditionnelle, mais mon problème s’il n’est plus urgent reste récurrent, je ne m’en débarrasse pas… Et c’est à ce moment qu’intervient une rencontre décisive.

 

L’histoire est dans le chemin n’est-ce pas ?

 

Voilà (rires). Enfin, je rencontre une personne qui se propose de m’aider grâce à de la kinésiologie et de la pranathérapie (Pranic Healing). Elle me conseille aussi de faire la méditation, en particulier celle que l’on nomme « la méditation des cœurs jumeaux »… Bon je ne vais pas vous cacher que j’y vais à petit pas (rires), cela ne va pas d’emblée pour moi : je ne pratique pas tous les jours, mais petit à petit je vois les résultats sur mon bien-être et ma santé. Et surtout je découvre à ce moment la pranathérapie, un « nettoyage énergétique » une technique que tout le monde peut pratiquer, un « soin de soi » qui a été mis au point  par un ingénieur d’origine chinoise. Le fondateur de la Pranathérapie, Grandmaster Choa Kok Sui, était  en effet un ingénieur chimiste,  philanthrope, il a développé une méthode très claire, et accessible à tous… ça me passionne et surtout je vois des résultats concrets sur moi et sur les autres.

 

 

La question que l’on a envie de vous poser c’est  bien sûr « comment ça marche ? »

 

Ce sont des techniques très anciennes qui se retrouvent un peu partout dans le monde, modernisées en coopération avec des médecins, des guérisseurs durant plus de 20 ans. Elles se basent sur les chakras et les flux d’énergie du corps,  un moyen de se débarrasser des tensions négatives accumulées émotionnellement et physiquement. Un peu comme on prend une douche après une longue journée, on devrait aussi pouvoir prendre une « douche énergétique » (rires). J’ai essayé par curiosité, et j’ai vu ce que je ressentais en tant que patiente, et ce que je pouvais donner aux autres. J’ai donc décidé de me former, et cela a sincèrement changé ma vie personnelle, professionnelle et ma vie de famille. Cette méthode apporte tellement de bienfaits, physiques et émotionnels. La pranathérapie est une technique de prévention! C’est aussi une pratique complémentaire à la médecine conventionnelle, un accélérateur de guérison et de bien-être s’il y a une maladie déjà diagnostiquée médicalement par exemple, mais en aucun cas elle ne la remplace ou ne s’y substitue.

 

Que dire à ceux que les mots « chakras », ou « flux d’énergie » font froncer les sourcils ou sourire dubitativement ?

 

Et bien que cela ne coûte absolument rien d’être curieux et d’essayer, c’est une méthode, douce et naturelle, sans contact, sans médicament d’aucune sorte, donc vraiment vous ne risquez pas grand chose (rires). Et puis surtout de ne pas avoir de préjugés! Cela marche pour tout le monde en fait, peu importe votre contexte, votre histoire, votre culture… Il faut juste être ouvert d’esprit, et s’ouvrir à la possibilité d’un « mieux-être ». Après tout sans pour autant connaître tous vos chakras par cœur, être de grands yogis ou pratiquer la méditation quotidienne il nous arrive à tous des moments dans notre vie ou on ressent les énergies : ne vous est-il jamais arrivé d’avoir l’impression que tel lieu ou telle personne dégagent de « bonnes ondes » ? Ou encore de rentrer dans une pièce et de frissonner, ou de trouver qu’une maison ou un appartement vous mettent mal à l’aise ? Ce sont des impressions, des ressentis que nous avons tous, après la façon dont on désire les nommer dépend de chacun... Bien entendu je ne cherche pas à convaincre les sceptiques absolus, mais un peu de scepticisme n’empêchera pas les ondes de passer (rires) et surtout mieux vaut prévenir que guérir !

 

Quels sont les « maux du Covid » que vous voyez autour de vous et pour lesquels la pranathérapie peut aider ?

 

Ils sont nombreux hélas… mais pas rédhibitoires heureusement. Les adultes - et les enfants tout autant ! - souffrent d’isolement, d’anxiété, de sommeil perturbé, ils ont des peurs, ils souffrent d’irritabilité, de colères… On voit aussi des troubles alimentaires vers la boulimie ou au contraire l’anorexie. Il y a presque des burn-out, une forme d’exaspération, d’épuisement. Et puis s’ajoutent des maux physiques : le dos, des troubles compulsifs…

 

Ce qui est fantastique c’est que c’est un soin que l’on peut pratiquer à distance ! Donc on ne peut plus respectueux des règles de distanciation sociale,… Pourquoi pas ne pas profiter aussi du fait que nous ne sommes pas encore revenus à un rythme de vie frénétique, avec des journées de bureau de 12 heures : bref, quelle que soit votre situation, c’est un bon moment pour prendre du temps pour soi justement pendant cette rentrée, une petite heure de pause rien qu’à soi ne peut que faire du bien… et qui sait, ce sera peut être le début d’un chemin (rires) ?!

 

Pour contacter Catherine par curiosité ou pour en savoir plus, voici

 

  • son compte Instagram : catherine_pranic_healing
  • son numéro (appels ou Whatsapp ) : 00 971 (0) 55 357 1814,

 

Article publié le 12 septembre 2020

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