Le scénario semble se répéter inlassablement. Une nouvelle organisation, la Fondation du Mémorial du 18 Mai, a décidé cette semaine de retirer à Aung San Suu Kyi le prix qu’elle lui avait attribué. Le prix Gwangju des droits de l’Homme lui avait été décerné en 2004, alors qu’elle était en résidence surveillée. Elle n’a pu le recevoir qu’en janvier 2013. “Son indifférence face aux atrocités commises contre les Rohingyas va contre toutes les valeurs que représente ce prix – protéger et promouvoir les droits de l’Homme”, explique le porte-parole de la fondation, Cho Jin-tae.
Une fondation sud-coréenne retire son prix à Aung San Suu Kyi
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