

Rzeczpospolita évoque en Une le « scénario noir des employeurs polonais » qui craignent de perdre 60% de leur main d’œuvre ukrainienne dans la perspective d’une ouverture plus large du marché du travail allemand prévue début 2019. Les secteurs les plus touchés seraient l’industrie, l’agro-alimentaire et l’agriculture. Ce qui attirerait le plus les ressortissants ukrainiens c’est un salaire trois ou quatre fois plus élevé qu’en Pologne. Pour éviter cette pénurie de main d’œuvre, les experts prévoient que la Pologne devra augmenter les salaires et chercher des travailleurs venant de Biélorussie, de Géorgie, d’Inde, du Vietnam ou du Népal.
