


En 1976, Julio Penna devait subir une opération périlleuse de la colonne vertébrale, avec huit chances sur dix de finir sa vie en fauteuil roulant. Il a préféré s'en remettre aux bonnes grâces des divinités afro-brésiliennes du Candomblé.
Aujourd'hui âgé de 69 ans, ce descendant de Portugais et d'Italiens marche aujourd'hui normalement. Et reste un fervent adepte de cette croyance vivace, bien que diabolisée pendant des siècles au Brésil, le pays comptant le plus de catholiques au monde.
Le Candomblé est basé sur le culte de divinités africaines, les "orishas". Ils ont traversé l'Atlantique dans les cales des navires, avec les 3,5 millions d'esclaves arrachés aux côtes ouest-africaines pendant la traite (1549-1888) pour aller travailler dans les plantations et mines du Brésil.
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