Le portage salarial séduit de plus en plus les professionnels en mobilité internationale. Pour les expatriés souhaitant conserver un statut sécurisé tout en travaillant à distance, c’est une solution à considérer, notamment lorsqu’il s’agit d’obtenir un visa de travail dans certains pays.


Entre indépendance et statut salarié, le portage salarial permet d’exercer une activité professionnelle tout en bénéficiant d’une protection sociale complète. Pour ceux qui vivent à l’étranger ou envisagent une expatriation, des plateformes comme la plateforme Digital Portage simplifient les démarches administratives tout en assurant un cadre légal reconnu.
Le portage salarial : un levier pour obtenir un visa de travail
Dans certains pays, pour obtenir un visa de travail ou un permis de résidence, il est nécessaire de démontrer un revenu stable et un contrat de travail.
Le salarié porté signe un contrat avec une société de portage, qui facture les clients finaux et reverse un salaire après prélèvements. En France, il bénéficie d’une couverture santé, de cotisations retraite et du droit au chômage. Les informations sur la convention collective encadrent ces dispositions, garantissant un cadre juridique clair et protecteur.
Démarrer en portage salarial : les étapes clés à connaître
Avant de vous lancer, il est essentiel de comprendre le fonctionnement du portage et de vérifier que votre activité est compatible avec ce dispositif. Voici les grandes étapes à suivre :
- Identifier une entreprise de portage reconnue ;
- Vérifier les conditions d’éligibilité (chiffre d’affaires minimum, nature de l’activité) ;
- Signer un contrat de travail en portage ;
- Trouver ses missions ou clients (en local ou à distance) ;
- Transmettre ses rapports de mission pour générer le salaire.
Le portage devient alors une passerelle idéale pour les freelances ou consultants qui souhaitent s’installer à l’étranger sans créer d’entreprise sur place.
