Le dimanche 14 juillet, la Toulonplatz de Mannheim recevait près de 2000 personnes et même des artistes venus de Bretagne pour son traditionnel bal populaire.
Organisée depuis juillet 2015 par l’Institut français de Mannheim, d’abord sous le nom de « Nuit française » avec le concours des musées REM, la fête Nationale française est toujours un succès dans la ville très francophile de Bade-Wurtemberg.
Dimanche 14 juillet, la Toulonplatz (C5) de Mannheim commençait à se remplir dès 15 h pour atteindre le nombre vertigineux de 2000 visiteurs en fin de soirée.
Les visiteurs commencent à s'installer devant la Zeughaus.
Devant le musée Zeughaus et tout autour de la place, des stands avaient été installés, chacun pouvait venir s’y restaurer ou étancher sa soif mais aussi se renseigner sur l’offre culturelle de plusieurs associations franco-allemandes basées en Rhin-Neckar ainsi que sur la large palette de cours de langue proposés par l’Institut français.
Chorale des enfants sur scène
Une ambiance légère et estivale se dégageait dès le début de l’après-midi sur la place, grâce au programme musical composé de morceaux d’accordéon avec Clemens Maria Kitschen, de notes de swing et de jazz avec le groupe OFF-BEAT du Bachgymnasium de Mannheim ainsi que du répertoire de la chorale des enfants de l’école Marie-Curie de Heidelberg.
Le groupe OFF-BEAT du Bachgymnasium de Mannheim accueilli par Virginie Jouhaud-Neutard, directrice de l'Institut français de Mannheim.
Christian Specht, premier adjoint au maire de Mannheim, Folker Zöller, Consul honoraire de Mannheim et Raimund Gründler, Kurpfalz-Gymnasium.
Jour de commémoration de la prise de la Bastille le 14 juillet 1789 mais aussi de la fête de la Fédération en 1790, la fête Nationale française à Mannheim a aussi pris des allures très officielles avec les discours du premier adjoint au maire de Mannheim, Christian Specht et du Consul honoraire, Folker Zöller avant que le très attendu trio breton « La Petite Semaine » n’ouvre le bal à 19 h 30.
Le trio breton « La Petite Semaine » composé de Vincent Prémel au chant et au cavaquinho (sorte de guitare), de Nicolas Chatalain au chant et à la guitare et de Sylvain Caremel au chant et à la batterie.
La musique du groupe français aux influences jamaïcaine, brésilienne et cap-verdienne a fait danser le public jusqu’au bout de la nuit.
© Photos Institut français Mannhem, Sylvia Landmann
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